123288.fb2
Harry Potter et les Reliques de la Mort
5
Harry Potter et les Reliques de la Mort
- Bonne chance. J'espère que nous nous rencontrerons encore. Les espoirs du monde de la Magie reposent sur tes épaules.
- Oh, dit Harry, c’est vrai. Merci.
- A bientôt, Harry, dit Hestia étreignant également sa main. Nos pensées t’accompagnent. "
- J’espère que tout ira bien, dit Harry avec un regard vers tante Pétunia et Dudley.
- Oh je suis sûr que nous finirons par être les meilleurs amis du monde, dit Diggle d’une voix légère, agitant son chapeau alors qu’il quittait la pièce. Hestia le suivi.
Dudley se libéra doucement de l’emprise de sa mère et marcha vers Harry qui dû réprimer l’envie de le menacer avec la magie. Alors Dudley lui tendit sa grosse main rose.
- Mince alors, Dudley, dit Harry alors que Tante Pétunia ravalait ses sanglots, Les Détraqueurs ont-ils insuffler une personnalité différente en toi?"
- Je ne sait pas, marmonna Dudley, Au revoir, Harry.
- Ouais … dit Harry, serrant la main a Dudley. Peut-être. Fait attention, Big D.
Dudley esquissa un sourire. Ils avancèrent lourdement dans la pièce.
Harry entendit ses pas lourds sur l’allée couverte de graviers, puis une porte de voiture claquer.
Tante Pétunia dont le visage avait été empêtré dans son mouchoir regarda autour d’elle, après le bruit. Elle ne pas semblait pas avoir pris en compte l’éventualité de se trouver seul avec Harry. À la hâte rangeant son mouchoir humide dans sa poche, elle dit :
- bon - au revoir et se dirigea vers la porte sans le regarder.
- Au revoir dit Harry.
Elle s’arrêta et regarda en arrière. Pendant un moment Harry a eu le sentiment très étrange qu'elle voulait lui dire quelque chose ; Elle lui jeta un regard étrange et timide et sembla sur le point de parler, mais ensuite, avec un peu de sa tête, elle sortit de la pièce après son mari et son fils.
Harry Potter et les Reliques de la Mort
6
Harry Potter et les Reliques de la Mort
C
C H
H A
A P
P IIT
T R
R E
E 4 : L
L E
E S
S 7 P
P O
O T
T T
T E
E R
R S
S
Harry remonta les escaliers vers sa chambre, arrivant à sa fenêtre juste à temps pour la voiture des Dursley sortir de l’allée et virer vers la rue. Le chapeau de Dedalus était visible entre tante Pétunia et Dudley sur la banquette arrière. La voiture tourna à droite à l'extrémité de Privet Drive, ses fenêtres brûlantes de rouge pendant un moment en coucher de soleil, et puis s’en fut.
Harry pris la cage d’Hedwige, son Eclair de feu, et son sac à dos, jetta à sa chambre anormalement rangée un rapide dernier regard, et puis retourna maladroitement dans le hall, où il déposa la cage, le balai, et le sac près du pied des escaliers. La lumière se diminuait rapidement, le hall rempli d’ombres à la lumière du soir. Il sentait vraiment étrange le fait de rester ici dans le silence alors qu’il était sur le point de quitter cette maison pour la dernière fois. Il y a bien longtemps, quand il avait été laissé seul tandis que le Dursleys sortait pour s'amuser, les heures de solitude avaient été un plaisir rare. Faisant une pause seulement pour dénicher quelque chose de bon dans le réfrigérateur, il s'était précipité en haut des escaliers pour jouer sur l'ordinateur de Dudley, ou pour allumer la télévision et changer de chaîne a son gré.
Cela lui donnait un sentiment étrange, de se souvenir de ces moments ; C’était comme se souvenir d’un jeune frère qui se serait perdu.
- Tu ne veux pas jeter un dernier coup d’oeil a ce lieu ? demanda Harry à Hedwige, qui boudait toujours, sa tête sous son aile. " Nous ne serons plus jamais ici.
Ne veux-tu pas te rappeler de tous les bons moments ? Je veux dire, regarde ce paillasson. Quel souvenir… Dudley a vomi là-dessus après que je l'aie sauvé des Détraqueurs… il s’est avéré être reconnaissant après tout, peux-tu croire ça ? … Et l'été passé, Dumbledore a passé la porte d’entrée…
Harry perdu le fil de ses pensées pendant un moment et Hedwige ne fit rien pour l’aider a se rappeler, mais a continua à se reposer, sa tête sous son aile. Harry tourna le dos à la porte d’entrée.
- Et en dessous de ca, Hedwige - Harry ouvrit une porte sous les escaliers -
"c’est là que j'avais l'habitude de dormir ! Tu ne le savais pas - mince alors, c’est petit, j'avais oublié… "
Harry regarda des chaussures et des parapluies empilés, se rappelant comment il avait l'habitude de réveiller chaque matin levant les yeux vers dessous de l'escalier, qui était le plus souvent agrémenté d’une ou deux araignées. Tels avaient été les jours avant qu'il ne découvre sa véritable identité ; avant qu'il ne découvre comment ses parents étaient morts ou pourquoi de telles choses se produisaient tout autour de lui. Mais Harry pouvait encore se rappeler des rêves qui ne le lâchaient pas, même en ces jours : des rêves confus impliquant des flashs de lumière verte et une fois - oncle Vernon avait failli avoir un accident de voiture quand Harry lui avait raconté - une moto volante…
Il y eu soudain un hurlement assourdissant tout près. Harry se redressa en un réflexe et se cogna le dessus de la tête sur l’encadrement de la basse porte. Faisant une pause pour employer quelqu’un des jurons d’oncle Vernon, il chancela vers la cuisine, saisissant sa tête et regardant fixement par la fenêtre dans le jardin de derrière.