123288.fb2 Harry Potter et les Reliques de la Mort - читать онлайн бесплатно полную версию книги . Страница 32

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« Avez-vous l’intention de poursuivre une carrière en Droit magique, Mlle Granger ?

» demanda Scrimgeour.

« Non, je n’en ai pas l’intention, » répliqua Hermione. « J'espère faire un certain bien dans le monde ! »

Ron ri. Les yeux de Scrimgeour cillèrent vers lui et encore lorsque Harry pris la parole.

« Alors pourquoi avez-vous décidé de nous les remettre maintenant ? Vous n’avez pas réfléchi à un prétexte pour les garder ? «

« Non, c’est parce que le délai de trente et un jour est passé, » dit Hermione immédiatement. « Ils ne peuvent pas garder ces objets plus longtemps à moins qu'ils se soient avérés dangereux. N’est ce pas ? «

« Auriez vous dit que vous étiez proche de Dumbledore, Ronald ? » demanda Scrimgeour, ignorant Hermione. Ron sembla effrayé.

« Je ? Pas -- pas vraiment… C'était toujours Harry qui… «

Ron regarda dans la direction de Harry et Hermione, pour voir Hermione lui adresser une sorte de « arrête-de-parler-tout-de-suite » regard, mais le mal était déjà fait ; Scrimgeour le regarda comme s'il avait entendu exactement ce qu'il comptait entendre. Il sauta comme un oiseau de proie sur la réponse de Ron.

« Si vous n'étiez pas très proche de Dumbledore, comment expliquez-vous le fait qu'il se soit souvenu de vous dans son testament ? Il a fait exceptionnellement peu de legs Harry Potter et les Reliques de la Mort

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personnels. La grande majorité de ses possessions -- sa bibliothèque personnelle, ses instruments magiques, et d'autres effets personnels -- ont été laissés à Poudlard. Dans quel but pensez-vous avoir été choisi ? «

« Sais pas je……, » dit Ron. « I… quand je dis nous n'étions proches… je veux dire, je pense qu’il m’aimait bien… »

« Tu es modeste, Ron, » dit Hermione. « Dumbledore était vraiment affectueux avec toi. »

Ceci tirait la vérité à son point d’arrêt ; dans la mesure où Harry savait que, Ron et Dumbledore n'avaient jamais été seuls ensembles, et les contacts directs entre eux pouvaient se compter sur les doigts d’une main. Cependant, Scrimgeour ne sembla pas écouter. Il a mis sa main à l'intérieur de son manteau et en sortit une pochette en fourrure beaucoup plus grande que celle que Hagrid lui avait donné. Il en tira un rouleau de parchemin qu'il déroula et lu à haute voix.

« « La dernière volonté et le testament d'Albus Percival Wulfric Brian Dumbledore »

… Oui, nous y sommes… « À Ronald Bilius Weasley, je laisse mon « Déluminateur

», dans l'espoir qu'il se rappelle de moi quand il l’utilisera. » «

Scrimgeour pris du sac un objet que Harry avait déjà vu avant : Il ressemblait a quelque chose près a un briquet argenté brillant, mais il avait, il le savait, le pouvoir d’absorber toute la lumière d'un endroit, et de la restituer, en un simple clic.

Scrimgeour se pencha en avant et donna le Deluminateur à Ron, qui le prit et le fit tourner entre ses doigts semblant abasourdi.

« C’est un objet de valeur, » dit Scrimgeour, observant Ron. « Il est peut être même unique. Certainement de la propre conception de Dumbledore. Pourquoi t’aurait-il laissé un objet si rare? «

Ron secoua la tête, semblant déconcerté.

« Dumbledore doit avoir enseigné à les milliers d'étudiants, »persista Scrimgeour .

“Pourtant les seules personnes dont il se souvient dans son testament c’est de vous trois. Pourquoi ça ? Quelle utilisation pensait-il que vous en ferez, M. Weasley ? «

« Eteindre les lumières, j’suppose, » marmonna Ron. « Quoi d’autre pourrais-je en faire ? »

Évidemment Scrimgeour n'eu aucune suggestion. Après avoir louché vers Ron pendant un moment ou deux, il se tourna de nouveau vers la volonté de Dumbledore.

« « À Mlle Hermione Jean Granger, je laisse à mon exemplaire des « Contes de Beedle le barde », dans l'espoir qu'elle le trouvera amusant et instructif. » «

Scrimgeour retira à présent du sac un petit livre qui semblait aussi antique que celui Des Secrets des arts sombres resté en haut. Sa reluire était sale et écaillée par endroits. Hermione le pris sans un mot à Scrimgeour. Elle tint le livre par sa couverture et le regarda fixement. Harry vu que le titre était en runes ; il n'avait jamais appris à les lire. Pendant qu'il regardait, une larme éclaboussa les symboles de relief.

« Pourquoi pensez vous que Dumbledore vous a laissé ce livre, Mlle Granger ? »

demanda Scrimgeour.

« Il… il savait que j'aimais les livres, « dit Hermione avec une voix pâteuse, s'essuyant les yeux dans sa manche.

« Mais pourquoi ce livre en particulier ? »

« Je ne sais pas. Il doit avoir pensé que je l'apprécierais. «

« Avez-vous déjà discuté de code, ou de tout moyen pour transmettre des messages secrets, avec Dumbledore ? »

« Non, jamais, » dit Hermione, continuant a s’essuyer les yeux dans sa manche.

. « Et si le ministère n'a trouvé aucun code caché dans ce livre en trente et un jours, je doute que j’y parviendrai. »

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Elle écrasa une larme. Ils étaient serré l’un contre l’autre tellement étroitement que Ron eu des difficultés à extraire son bras pour le mettre autour des épaules de Hermione. Scrimgeour retourna au testament.

« À Harry James Potter, » lut-il, et les entrailles de Harry de contractèrent avec un soudain excitement, » « je laisse le vif d’or qu'il a attrapé dans son premier match de Quidditch à Poudlard, en rappel des récompenses de la persévérance et de l’habileté.

» «

Alors que Scrimgeour retirait la minuscule sphère en or de la taille d’une noix, ses ailes argentées s’agitèrent plutôt faiblement, et Harry ne pouvait pas s’empêcher de définir le sens d’une chute..

« Pourquoi Dumbledore t’a-t-il laissé ce vif d’or ? » demanda Scrimgeour.

« Aucune idée, » dit Harry. « Pour les raisons que vous avez énumérées à haute voix, je présume… pour me rappeler ce qu’on peut obtenir si on… persévère et peu importe quoi d’autre. «

« Vous pensez donc que ceci est un simple souvenir symbolique ? »

« Je suppose oui, » dit Harry. « Qu’est ce pourrait être d’autre ? »

« Je pose les questions, » dit Scrimgeour, décalant son fauteuil plus près du sofa. Le crépuscule tombait vraiment à l’extérieur à présent ; le chapiteau au delà des fenêtres dominait d’un banc fantomatique au dessus de la haie.

« J’ai remarqué que la forme de votre gâteau d’anniversaire était celle d’un vif-d’or»