123308.fb2 HarryPotter et l'ordre du phoenix - читать онлайн бесплатно полную версию книги . Страница 30

HarryPotter et l'ordre du phoenix - читать онлайн бесплатно полную версию книги . Страница 30

Il s'éloigna de la tapisserie, ses mains profondément enfouies dans ses poches.

« Je n'aime pas être de retour ici » dit-il, regardant l'autre côté de la salle de dessin «

J'aurais jamais pensé être encore pris dans cette maison »

Harry comprenais complètement. Il savait comment il se sentirait, quand il grandissait et pensait s'être libéré d'un endroit pour toujours, mais de retourner vivre au numéro 4, Privet Drive.

« C'est parfait comme quartier général, bien sûr » dit Sirius « Mon père a mis toutes les mesures de sécurité connues du genre sorcier ici de son vivant. Elle est incartable alors les Moldus ne pouvaient pas venir ou appeler, comme s'il l'avait jamais voulu et maintenant Dumbledore à ajouté sa protection, tu trouverais difficile de trouver une maison plus sûre quelque part. Dumbeldore est le Gardien du Secret pour l'Ordre, tu sais. Personne ne peut trouver nos quartiers généraux sauf s'il leur dit personnellement où c'est. Cette note que Moody t'as montrée la nuit dernière, elle était de Dumbledore »

Sirius eut un rire qui ressemblait à un court aboiement.

« SI mes parents pouvaient voir à quoi sert leur maison maintenant. Enfin, le portrait de ma mère doit te donner une idée »

Il se reforgea un moment, puis soupira.

« Ça ne me dérangerait pas si je pouvais juste sortir de temps en temps et faire quelque chose d'utile. J'ai demandé à Dumbledore si je pouvais t'escorter à ton audience. comme Snuffle, évidemment. Comme ça j'aurais pu te donner un peu de moral, qu'est-ce que t'en penses? »

Harry se sentit comme si son estomac venait de se noyer dans le tapis poussiéreux. Il n'avait pas pensé à l'audience depuis le dîner de la veille dans l'excitation de revoir les personnes qu'il aimait le plus, et d'entendre tout ce qui se passait, ça lui était complètement sorti de la tête.

Au mot de Sirius, cependant, le sentiment écrasant de la peur revint en lui. Il regarda Hermione et les Weasley, tous mangeant de bon appétit leurs sandwiches et pensa à comment il se sentirait s'ils devaient retourner à Poudlard sans lui.

« Ne t'inquiète pas » dit Sirius.

Harry le regarda et réalisant que Sirius l'observait.

« Je suis sûr qu'il vont éclaircir ton dossier. Il y a définitivement quelque chose dans le Statut de Discrétion à propos du droit de faire de la magie pour te sauver la vie »

Sirius souria malheureusement.

« Tu vas voir »

« Je me sentirait beaucoup mieux à propos de l'audience si je savais que je n'aurais pas à retourner chez les Dursley après » le pressa Harry.

« Ils doivent être terrible si tu préfère cet endroit » dit Sirius sombrement.

« Dépêchez-vous vous deux, ou il ne restera plus de nourriture » les appela Mme Weasley.

Sirius poussa un autre grand soupir, jeta un regard noir à la tapisserie, puis Harry et lui rejoignirent les autres.

Harry essaya du mieux qu'il pu pour ne pas penser à l'audience pendant qu'ils vidait les armoires aux portes vitrées cet après midi là. Heureusement pour lui, c'était un travail qui demandait beaucoup de concentration étant donné que plusieurs des objets à l'intérieur semblaient résister à se faire enlever de leur rayon poussiéreux. Sirius subit une mauvaise morsure d'une boîte à tabac en argent; après quelques secondes, sa main mordue avait développer une désagréable croûte qui la couvrait comme un gant brun et dur.

« C'est ok » dit-il, examinant sa main avec intérêt avant de la taper doucement avec sa baguette pour remettre la peau en son était normal. « Il doit y avoir de la poudre Wartcap dedans. »

Il lança la boîte sur le côté, dans le sac où ils déposaient les débris des armoires.; Harry vit Georges s'envelopper attentivement la main dans un linge quelques instant plus tard et mettre subtilement la boîte dans une poche déjà pleine de Doxy. Ils trouvèrent un désagréable instrument en argent, quelque chose qui avait plusieurs pattes qui aborda le bras de Harry comme une araignée. et lorsqu'il la souleva, elle essaya de crever sa peau.

Sirius la prit et l'écrasa avec un gros livre intitulé : les Noble de Nature : la Généalogie des Sorciers. Il y avait une boîte musicale qui émettait le tintement d'une chanson faiblement sinistre et ils se retrouvèrent tous curieusement faibles et fatigués jusqu'à ce que Ginny ait le bon sens de claquer fermement le couvercle. Il y avait un cadenas qu'aucun d'eux ne pouvait ouvrir, un certain nombre d'anciens sceaux, et, dans une boîte poussiéreuse, un Ordre de Merlin, Première Classe qui avait été donné au grand-père de Sirius pour service rendu au Ministère.

« Ça veut dire qu'il leur a donné beaucoup d'argent » dit Sirius en le contemplant, et jeta le métal dans le sac à ordure.

Plusieurs fois, Kreacher se glissa dans la pièce et essaya de faire passer en douce certaines choses sous son vêtement, marmonnant d'horribles malédictions chaque fois qu'il le prenait à faire ainsi. Quand Sirius arracha de sa prise un large anneau d'or portant l'armoirie des Black, Kreacher fondit carrément en larmes, furieux, il quitta la pièce en sanglotant et traitant Sirius de noms que Harry n'avait jamais entendu avant.

« C'était à mon père » dit Sirius en lançant l'anneau dans le sac. « Kreacher ne lui était pas aussi dévoué qu'à ma mère, mais je l'ai déjà pris en train de dérober un vieux pantalon de mon père la semaine dernière. »

Mme Weasley les garda tous très occupés durant les jours suivants. La salle de dessin prit trois jours à décontaminer. Finalement, le seule chose indésirable qui y restait était la tapisserie de l'arbre généalogique de la famille Black, qui résista à toute leur tentative de l'enlever du mur, et le bureau à dessin agité. Maugrey n'était pas passé par le quartier général jusqu'à maintenant, alors ils ne pouvaient être certains de ce qu'il y avait à l'intérieur.

Il se déplacèrent de la salle de dessin jusqu'à la salle à manger au rez-de-chaussée où ils trouvèrent des araignée aussi grosse que des soucoupe cachée dans le garde robe. (Ron quitta la pièce précipitamment pour se faire une tasse de thé et ne revint pas avant une heure et demie)

La porcelaine, qui portait les armoiries et la devise des Black, fut jeter sans cérémonie dans le sac par Sirius, et un destin semblable attendait une série de photographies dans des cadres d'argent ternis, tout ces occupants poussèrent des cris aigus alors que la vitre qui les recouvrait se brisa. Rogue pouvait référer à leur ouvrage comme étant du ménage, mais dans l'opinion d'Harry, ils faisaient vraiment la guerre à la maison, ce qui menait une très bonne bataille avec l'aide de Kreacher. L'Elfe de Maison n'arrêtait pas d'apparaître chaque fois qu'ils se rassemblaient, son marmonnement devenait de plus en plus offensant lorsqu'il essayait d'enlever tout ce qu'il pouvait des sacs à ordure. Sirius en était même jusqu'à le menacer avec des vêtement, mais Kreacher le fixait d'un oeil vague et dit : « Maître doit faire comme Maître le veut » avant de s'en retourner et de marmonner plus fort « mais Maître ne renvoira pas Kreacher, non, car Kreacher sait ce qu'il manigance, oh oui, il manigance contre le Seigneur des Ténèbres, oui, avec les Sang de Bourbe et les traîtres et les sales »

Ce à quoi Sirius, ignorant les protestation d'Hermione, saisit Kreacher par le derrière de son vêtement et le lança carrément hors de la pièce.

La sonnette était utilisée plusieurs fois par jour, ce qui était le signal de départ pour les hurlement de la mère de Sirius, et pour Harry et les autres d'essayer d'être aux écoutes des visiteurs, même s'ils glanaient très peu des bref coup d'oeil et mouvements des conversations qu'ils avaient la possibilité d'entendre avant que Mme Weasley les rappelle à l'ouvrage. Rogue s'infiltra dans et hors de la maison plusieurs fois, mais une chance pour Harry ils ne furent jamais face à face; Harry entraperçu aussi son enseignant de métamorphose, le Professeur Mc Gonagal, qui avait l'air très étrange dans une robe et un manteau moldu, et semblait elle aussi trop pressée pour traîner. Quelques fois, cependant, les visiteurs restaient pour aider. Tonks les rejoint pour un après-midi mémorable durant lequel une vieille goule meurtrière tapie dans les toilette à l'étage; et Lupin, qui restait à la maison avec Sirius, mais qu'il dut quitter durant de longues périodes pour faire de mystérieuses missions pour l'Ordre, les aida à réparer l'horloge de Grand-Père qui avait développé la mauvaise habitude de lancer de lourds boulons aux passants. Mundungus s'éleva d'un cran dans l'estime de Mme Weasley en secourant Ron d'un ancien assortiment de robes violettes qui avaient essayé de l'étrangler alors qu'il les enlevait du garde-robe.

En dehors du fait qu'il dormait toujours mal, ayant encore des rêves de corridors et de portes barrées qui faisaient picoter sa cicatrice, Harry essayait de s'amuser pour la première fois de l'été. Aussitôt qu'il était occupé, il était content; quand l'action diminuait, cependant, aussitôt qu'il baissait sa garde, ou s'étendait exhaussé dans son lit regardant des ombres brouillées à travers la plafond, la pensée de la menaçante audience au Ministère le retrouvait. La peur s'enfonçait à l'intérieur de lui comme des aiguilles, et il se demandait qu'est ce qui lui arriverait s'il était expulsé. L'idée était tellement terrible qu'il n'osait pas la formuler à voix haute, pas même devant Ron et Hermione, qui, même s'il les voyaient souvent murmurer ensemble et lançant des regards inquiets dans sa direction, firent comme lui et ne le mentionnèrent pas.

Quelques fois, il ne pouvait empêcher son imagination de lui montrer un Ministère sans visage qui brisait officiellement sa baguette en deux et le renvoyant chez les Dursley.

Mais il ne pouvait pas partir, il était déterminé sur ce point. Il reviendrait ici, à Grimmauld Place, et vivrait avec Sirius.

Il se sentait comme si une brique était tombé dans son estomac quand Mme Weasley se tourna vers lui durant le dîner de mercredi soir et lui dit calmement :

« J'ai repasser tes plus beaux vêtement pour demain matin, Harry, et je veux que tu te lave les cheveux se soir aussi. Un bonne première impression peut faire des miracles »

Ron, Hermione, Fred, Georges et Ginny arrêtèrent tous de parler et le regardèrent.

Harry hocha la tête et essaya de manger sa bouchée, mais sa bouche devint si sèche qu'il ne pouvait plus mastiquer.

« Comment je dois m'y rendre? » demanda-t-il à Mme Weasley, essaya de sonner indifférent.

« Arthur t'amène au travail demain » dit Mme Weasley gentiment.

M. Weasley fit un sourit encouragea à Harry de l'autre côté de la table.

« Tu pourras attendre dans mon bureau jusqu'à ce que ça soit l'heure de l'audience. » dit-il.

Harry regarda Sirius, mais avant qu'il ne puisse poser sa question, Mme Weasley y répondit.

« Professeur Dumbledore ne croit pas que c'est une bonne idée que Sirius t'accompagne, et je dois dire que je crois. »

« Qu'il a raison » dit Sirius au travers de sa mâchoire serrée.

« Il est venu hier soir, quand tu était au lit » dit M Weasley.

Sirius poignarda maussadement une patate avec sa fourchette. Harry baissa ses yeux vers son assiette. La pensée que Dumbledore avait été à la maison la veille de son audience et qu'il n'ai même pas demander à la voir, le faisait se sentir, si c'était possible, encore plus mal.

Chapitre 7 : LE MINISTÈRE DE LA MAGIE

Harry se réveilla brusquement vers 5 heures et Demie c'était comme si quelqu'un avait hurlé dans son oreille. Apres quelques instants il resta immobile comme si la simple pensée de l'audience disciplinaire avait empli chaque particules de son cerveau, incapable de le supporter, Harry sauta du lit mit ses lunettes.