123308.fb2 HarryPotter et l'ordre du phoenix - читать онлайн бесплатно полную версию книги . Страница 68

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" Allez, tu peux me le dire! Pourquoi tu te caches ici? "

" Je suis… Je me cache de Fred et Georges, si tu veux savoir " dit Ron " Ils viennent de passer avec un groupe de première année, je pari qu’ils testent des choses sur eux encore. Je veux dire, ils ne peuvent plus le faire dans la salle commune maintenant, n’est-ce pas, pas si Hermione est là "

Il parlait d’une façon très rapide et fiévreuse.

" Mais pourquoi tu as ton balais, tu n’as pas volé, non? " demanda Harry.

" Je… eh bien… Enfin, OK, je vais te le dire, mais ne ris pas, d’accord? " Dit Ron sur la défensive, devenant plus rouge chaque seconde " Je… Je pensait que j’aillais essayer pour être le Gardien de Gryffondor maintenant que j’ai un balais décent. Allez. Vas-y.

Ris "

" Je ne ris pas " dit Harry.

Ron cligna des yeux

" C’est une idée brillante! Ce serait vraiment cool si tu viens dans l’équipe! Je ne t’ai jamais vu faire le Gardien, tu es bon? "

" Je suis pas mauvais " dit Ron, qui semblait très soulagé de la réaction de Harry

" Charlie, Fred et Georges m’ont toujours mi Gardien pour eux quand ils s’entraînaient durant les vacances "

" Alors tu pratiquait ce soir? "

" Tous les soirs depuis mardi. Tout seul, en revanche. J’ai essayé d’ensorceler des Souafle pour qu’il vole vers moi, mais ça n’a pas été facile et je ne sais pas si ça va vraiment aider "Ron semblait nerveux et anxieux. " Fred et Georges vont rire stupidement eux quand je vais aller aux essais. Ils n’ont pas arrêter de me taquiner depuis que j’ai été fait préfet "

" J’aimerai pouvoir être là " dit Harry amèrement, alors qu’ils se rendaient ensemble pour la salle commune

" Ouais, moi… Harry, qu’est-ce qu’il y a sur le dos de ta main? "

Harry qui venait de se gratter le nez avec sa main libre droite, essaya de la cacher, mais se fut un aussi grand succès que Ron avec son balai.

" C’est juste un coupure… ce n’est rien… c’est… "

Mais Ron avait attraper l’avant bras de Harry et tira le dos de la main de Harry à la hauteur de ses yeux. Il y eut une pause, pendant laquelle il fixait les mots découper dans la peau, puis, semblant malade, il libéra Harry.

" Je croyais que tu avais dit qu’elle ne te donnais que des lignes "

Harry hésita, mais après tout, Ron avait été honnête avec lui, alors il dit à Ron la vérité à propos des heures qu’il avait passé dans le bureau de Umbridge.

" La vieille sorcière! " dit Ron dans un murmure révolté alors qu’il faisait une halte devant la Grosse Dame, qui sommeillait paisiblement avec la tête contre son cadre.

" Elle est malade! Va voir McGonagall, dit quelque chose!

" Non " dit Harry aussitôt " je ne vais pas lui donner la satisfaction de savoir qu’elle m’a eu "

" T’avoir eu? Tu ne peux pas la laisser s’en sortir avec ça! "

" Je ne sais pas comment de pouvoir McGonagall a sur elle " dit Harry

" Dumbledore alors, dis le à Dumbledore! "

" No " dit Harry catégoriquement

" Pourquoi pas? "

" Il a déjà assez de chose à penser " dit Harry, mais ce n’était pas la vraie raison. Il n’allait pas demander de l’aide à Dumbledore quand Dumbledore ne lui avait pas parler une fois depuis Juin.

" Eh bien, je crois que tu devrais… " Commença Ron, mais il fut interrompu par la Grosse Dame, qui les regardait, endormie, et qui maintenant s’exclamait :

" Allez vous me donner le mot de passe ou je vais devoir attendre toute la nuit que vous finissiez votre conversation? "

L’aube de vendredi arriva aussi maussade et mouillé que le reste de la semaine. Bien que Harry jeta automatiquement un coup d’œil à la table des professeur quand il entra dans le grand Hall, c’était sans réel espoir d’y voir Hagrid, et détourna ses pensées immédiatement vers un problème plus pressant, comme les montagnes de piles de devoirs qu’ils avaient à faire et la perspective d’une autre retenue avec Umbridge.

Deux choses soutenaient cette journée. La première était la pensée que c’était presque la fin de semaine; l’autre était que, aussi terrible que la dernière retenu avec Umbridge le serait certainement, il aurait une vue distante du terrain de Quidditch depuis sa fenêtre et pourrait, avec de la chance, être capable de voir quelque chose de l’audition de Ron.

Ceci était plutôt de faibles rayons de lumière, c’était vrai, mais Harry était reconnaissant envers tout ce qui pourrait illuminé sa noirceur actuelle; il n’avait jamais eu une pire première semaine de trimestre à Poudlard.

À cinq heures ce soir-là il cogna à la porte du bureau du Professeur Umbridge pour ce qu’il espérait sincèrement serait la dernière fois, et il lui fut demander d’entrer.

Le parchemin vierge était poser, prêt pour lui, sur la table, la plume noire et pointues à côté.

" Vous savez quoi faire, M Potter " dit Umbridge en lui souriant doucement.

Harry pris la plume et jeta un coup d’œil par la fenêtre. Si il tournait juste sa chaise d’un pouce environ vers la droite… Avec comme prétexte d’approcher la chaise de la table, il le fit. Il avait maintenant une vue distante de l’équipe de Quidditch de Gryffondor s’élevant du terrain, pendant qu’une demie douzaine de silhouette noire se tenait debout au pied des trois grands buts, attendant apparemment leur tour pour Garder. Il était impossible de dire lequel était Ron à cette distance. Je ne dois pas mentir écrivit Harry. La coupure sur le dos de sa main s’ouvrit et commença à saigner abondamment.

Je ne dois pas mentir. La coupure s’approfondit d’avantage, piquante et vive.

Je ne dois pas mentir. Le sang coula sur son poignet.

Il tenta un autre coup d’œil à la fenêtre. Quiconque qui défendait le but maintenant faisait un travail très pauvre. Katie Bell fit deux buts seulement pendant les quelques secondes que Harry osa regarder. Espérant très fort que le Gardien n’était pas Ron, il posa les yeux sur le parchemin qui brillait de sang.

Je ne dois pas mentir.

Je ne dois pas mentir.

Il leva les yeux chaque fois qu’il pensait qu’il pouvait s’y risquer; quand il pouvait entendre le griffonnement de la plume de Umbridge ou l’ouverture d’un tiroir du bureau. La troisième personne à essayer était plutôt bonne, la quatrième était terrible, la cinquième esquiva un Cognard exceptionnellement bien mais rata un but facile. Le ciel s’assombrissait et Harry doutait qu’il serait capable de voir la sixième et septième personne du tout.

Je ne dois pas mentir.

Je ne dois pas mentir.

Le parchemin était maintenant picoté avec des gouttes de sang du dos de sa main qui brûlait avec douleur. Quand il leva la tête, la nuit était tombée et le terrain de Quidditch n’était plus visible.

" Voyons si nous avons compris le message maintenant, devrions-nous? " dit la voix douce de Umbridge une demi-heure plus tard. Elle s’approcha de lui, étendit ses petits doigts avec des anneaux vers son bras. Et puis, comme elle le retenait pour examiner les mots maintenant couper dans sa peau, la douleur le brûla, pas sur le dos de sa main, mais sur la cicatrice de son front. Au même moment, il eu une étrange sensation quelque part près de son diaphragme.

Il arracha son bras de sa prise et se mit sur ses pieds, la regardant fixement. Elle le regarda en retour, un sourire étirant sa large bouche molle.

" Oui, ça fait mal, n’est-ce pas? " dit-elle gentiment.