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SIXIÈME JOURNÉE
Je fus réveillé par Zoto, qui me dit que j’avais dormi très longtemps et que le dîner était prêt. Je m’habillai à la hâte et j’allai trouver mes cousines, qui m’attendaient dans la salle à manger. Leurs yeux me caressaient encore, et elles semblaient occupées de la veille plus que du dîner qu’on leur servait. Lorsque l’on eût ôté la table, Zoto prit place auprès de nous et reprit en ces termes le récit de son histoire.