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Sur la fin de la nuit suivante, Dinarzade adressa ces paroles à la sultane: Ma chère sœur, si vous ne dormez pas, je vous prie, en attendant le jour, qui paraîtra bientôt, de me raconter quelqu’un de ces beaux contes que vous savez. – Je voudrais bien, dit alors Schahriar, entendre l’histoire du troisième calender. – Sire, répondit Scheherazade, vous allez être obéi. Le troisième calender, ajouta-t-elle, voyant que c’était à lui à parler, s’adressant comme les autres à Zobéide, commença son histoire de cette manière: