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Après que la confidente eut marqué au joaillier la joie qu’elle avait de le voir si disposé à rendre service à Schemselnihar et au prince de Perse, le joaillier tira la lettre de son sein et la lui rendit, en lui disant: «Tenez, portez-la promptement au prince de Perse et repassez, par ici, afin que je voie la réponse qu’il y fera. N’oubliez pas de lui rendre compte de notre entretien.»
La confidente prit la lettre et la porta au prince, qui y fit réponse sur-le-champ. Elle retourna chez le joaillier lui montrer la réponse, qui contenait ces paroles: